La protection de la vie privée sur internet est devenue un paramètre incontournable sur tous les sites internet, allant du simple site d’achat en ligne aux réseaux sociaux.
Les premières sanctions sont tombées : la dernière en date, Google LLC a été condamné le 21 janvier à payer 50 millions d’euros pour non-respect du règlement européen RGPD. « Une mesure qui souligne l’intention de la CNIL de prendre très au sérieux le traitement des plaintes contre les compagnies technologiques »
Cette loi consiste à obliger les entreprises et les gouvernements à faire preuve de transparence concernant les données à caractères personnels. Elles correspondent à toute information relative à une personne physique identifiée ou qui peut être identifiée, directement ou indirectement par le biais d’un numéro d’identification ou à plusieurs informations qui lui sont propres.
Cette notion de protection des données est ancrée dans la culture européenne depuis la fin de la deuxième guerre mondiale.
Les entreprises éligibles à cette loi ont plusieurs critères à respecter, comme une parfaite transparence sur la collecte des données auprès du consommateur. Elles ont également une obligation de sécuriser ses informations, comme les banques notamment qui possèdent des informations confidentielles. Pour finir les entreprises ont pour obligation de supprimer les données à la fin du contrat, par exemple lors de la clôture d’un prêt à la banque, celle-ci se verra obligée de supprimer les informations sur son ancien client.
Devenues obligatoires, les RGPD ont donc toutes été mises à jour par chacune des entreprises utilisant des données à caractère personnel.
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